Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Voici à point nommé, un ouvrage qui va nous faire découvrir un Périgord édifiant en ce qu'il est riche de beautés naturelles, d'une histoire multimillénaire, et d'un patrimoine culturel exceptionnel ; mais aussi d'une impressionnante ribambelle d'armoiries, dont beaucoup se retrouvent également dans les armoiriaux les plus renommés.
Art du dessin et de l'image, la science du blason récupère avec ce livre le goût de la coloration et de l'expression visuelle. Nous y retrouvons les "imagiers" médiévaux.
Ainsi, avec des descriptions sobres mais complètes (près de 1400 familles) et des dessins de superbe qualité (près de 2000), vous aussi, entre les mains, le premier armorial du Périgord tout en couleurs !
Bon voyage dans le Périgord de pourpre, d'argent, de sinople et de sable...
"En 1865, paraissait un ouvrage intitulé Essai d'Armorial du Vendômois de M. A. de Maude, donnant environ 350 armes de familles et communautés du Vendômois.
Près de 50 ans plus tard, Raoul de Saint-Venant publiait le monumental Dictionnaire topographique, historique, biographique, généalogique et héraldique du Vendômois et de l'arrondissement de Vendôme, une oeuvre irremplaçable, dans laquelle il décrivait les armes d'environ 1500 familles.
En 2000, Jean-Paul Fernon et Christian Léger, avec l'aide d'Olivier de Pontbriand, ont entrepris de corriger et de compléter les données de ces deux ouvrages. Ils ont ainsi réuni les armes de plus de 2100 familles ayant résidé en Vendômois du XIIe siècle. à nos jours, de communautés religieuses et de corporations. Cet armorial publié par les Editions Cherche-Lune de Vendôme a été rapidement épuisé.
Quinze ans se sont écoulés depuis. Jean-Paul Fernon et Christian Léger, bénéficiant des nouveaux moyens mis à leur disposition, en particulier la consultation en ligne de documents de la Bibliothèque Nationale, ont décidé de mettre à jour leur travail.
Revu, augmenté de nouvelles familles et entièrement illustré de superbes dessins réalisés par Patrick Rousseau, ils proposent aujourd'hui cette réédition d'un ouvrage qui apportera sa contribution à la connaissance historique du Vendômois.rmes de familles et communautés du Vendômois."
"En 1865, paraissait un ouvrage intitulé Essai d'Armorial du Vendômois de M. A. de Maude, donnant environ 350 armes de familles et communautés du Vendômois.
Près de 50 ans plus tard, Raoul de Saint-Venant publiait le monumental Dictionnaire topographique, historique, biographique, généalogique et héraldique du Vendômois et de l'arrondissement de Vendôme, une oeuvre irremplaçable, dans laquelle il décrivait les armes d'environ 1500 familles.
En 2000, Jean-Paul Fernon et Christian Léger, avec l'aide d'Olivier de Pontbriand, ont entrepris de corriger et de compléter les données de ces deux ouvrages. Ils ont ainsi réuni les armes de plus de 2100 familles ayant résidé en Vendômois du XIIe siècle. à nos jours, de communautés religieuses et de corporations. Cet armorial publié par les Editions Cherche-Lune de Vendôme a été rapidement épuisé.
Quinze ans se sont écoulés depuis. Jean-Paul Fernon et Christian Léger, bénéficiant des nouveaux moyens mis à leur disposition, en particulier la consultation en ligne de documents de la Bibliothèque Nationale, ont décidé de mettre à jour leur travail.
Revu, augmenté de nouvelles familles et entièrement illustré de superbes dessins réalisés par Patrick Rousseau, ils proposent aujourd'hui cette réédition d'un ouvrage qui apportera sa contribution à la connaissance historique du Vendômois.rmes de familles et communautés du Vendômois. "
Un panorama historique des cinq diocèses qui ont formé l'actuel diocèse de Montpellier avec la liste complète des évêques des origines à nos jours et plus de 200 blasons et leurs variantes.
Et en complément, l'armorial des communautés religieuses de l'Hérault.
Ce mémoire réalisé en 2003 par Jacky David dans le cadre de l'Université du Temps Libre du Bas-Languedoc, et inédit jusqu'à ce jour, a été entièrement revu et agrémenté de nouveaux dessins de Jean-Paul Fernon.
Il se veut une initiation sommaire à la science héraldique avec des exemples concrets pris parmi les blasons des communes, familles et communautés religieuses des sept cantons situés à proximité de l'étang de Thau : Sète, Frontignan, Montagnac, Pézenas, Mèze, Agde et Florensac.
Cet Armorial présente près de 2000 dessins de blasons d'environ 1500 familles de l'Hérault, de toutes les époques - avec leurs variantes et leurs différentes branches - et de toutes les catégories sociales : des grands noms de l'ancienne province du Languedoc jusqu'au praticien montpelliérain, du hobereau au commerçant et du prélat au notaire. C'est en particulier grâce à l'Armorial Général de d'Hozier établi depuis l'édit de 1696 que, en plus des nobles dont les armes sont parvenues jusqu'à nos jours, nous connaissons les blasons de familles de modeste extraction qui auraient sombré dans l'anonymat des siècles. Il en eût été de même pour les simples curés, les confréries religieuses, mais aussi les vénérables corporations dont les armes figurent en fin de cet ouvrage.
Se basant aussi sur des armoriaux plus récents, ce travail offre donc au lecteur un panorama de l'héraldique dans l'Hérault du Moyen Age au XXIème siècle.
Douze ans après sa première édition, la réédition de cet ouvrage répond à deux objectifs :
- Offrir au lecteur un outil de recherche corrigé et augmenté ainsi qu'une esthétique renouvelée.
- Sensibiliser les communes à cet élément trop souvent méconnu, voire dénigré, de leur patrimoine. Bien que nécessaire, la mise en place de l'intercommunalité au début des années 1990, puis l'extension constante de ses compétences fait en effet peser une sourde menace sur l'héraldique communale. Diluée dans un espace désormais plus large, la spécificité communale tend logiquement à s'estomper et avec elle les signes éminemment identitaires que sont les blasons. En outre, nombreuses sont aujourd'hui les municipalités qui, négligeant leurs armoiries, optent pour des logos, tout aussi dispendieux qu'éphémères ! Si nous ne prétendons pas lutter contre ce qui n'est plus une mode mais une tendance lourde, nous nous devions par contre à un devoir d'inventaire !
Aujourd'hui 314 des 343 communes de l'Hérault sont dotées d'armoiries communales.
L'étude de ces blasons est complété par un important lexique des termes d'héraldique.
Loin des bannières guerrières, l'emploi du blason se généralise dans l'Église à partir du XIIIe siècle, avec l'usage des sceaux permettant d'authentifier les écrits. Le clergé commence alors à se doter d'armoiries.
A la différence d'une présentation évêché après évêché, un armorial alphabétique permet de suivre les généalogies. En effet, la prélature participait largement à l'aura des Grandes Maisons, qui ont assis plusieurs de leurs membres sur des sièges épiscopaux. Les successions entre oncles, frères et neveux étaient fréquentes.
Il permet aussi d'utiles reports quand, par exemple, un évêque a « voyagé » dans plusieurs diocèses normands au cours de sa promotion sacerdotale.
On trouvera toutefois dans ces pages, une chronologie pour chaque diocèse, car l'histoire de la Normandie ecclésiastique est loin d'avoir été un long fleuve tranquille...
D'Artagnan, Athos, Aramis, Porthos, des noms qui nous sont à tous familiers ! Nous suivons leurs aventures entre 1625 et 1673, dans « la Trilogie des Mousquetaires », au cours de laquelle Dumas nous offre le portrait d'une multitude de personnages, certains purement fictifs, mais la plupart historiques, hauts en couleurs et en noblesse, donc blasonné.
Ce sont en priorité leurs armoiries qui ont généré l'idée de cet ouvrage, lequel s'est ensuite doublé d'un travail de présentation répertoriée d'une majorité de noms qui se rappellent à notre souvenir. Les auteurs nous entraînent dans un voyage temporel, sous le règne de Louis XIII, puis au début de celui de Louis XIV, dans le XVIIe siècle, à la fois réel et imaginaire d'Alexandre Dumas à travers le destin de 157 personnages (dont 121 propriétaires d'un blason), acteurs de la grande aventure.
Pourquoi dire « localités » et non pas « communes » ?
Parce que la Normandie a perdu plus de six cents de ces dernières, en quelques années ! Sous couvert d'improbables économies politiquement orchestrées, on assiste encore à des regroupements variés de communes, au profit de « villes nouvelles » tout autant improbables : il faut croire que les localités fusionnées n'ont plus besoin d'éclairage public ni de réfection des trottoirs...
Cet « armorial des localités normandes » a pour objectif de rendre à l'ensemble des bourgs et villages, anciens ou récents, leurs attaches locales profondes, leur âme et leur histoire ; leur rendre la géographie de leur terroir, en oubliant les découpages administratifs ; leur rendre la bannière qui personnalise leur environnement, c'est-à-dire leur « blason ».
Le blason, dont le port est libre sous réserve du droit des tiers, est à présent largement répandu, non seulement dans les familles où il se transmet comme le nom, mais également dans l'industrie, le com-merce, les communautés nationales, sportives, associatives et municipales. Symbole d'identification à un groupe social, esthétique par définition, il n'a pas pu être éliminé par les logos et les graphes dont la laideur et le mauvais goût, dans bien des cas, n'a que l'ignorance pour excuse..
Voici la nouvelle édition de "l'Armorial des communes de l'Algérie française" revue, corrigée et augmentée depuis sa première publication en 2005, épuisée depuis plusieurs années. Il nous a semblé, en cette année 2012, 50e anniversaire de l'indépendance de l'Algérie, que cet ouvrage avait sa place parmi tous ceux qui paraissent à cette occasion.
Nous avons tenu compte des informations et des remarques qui nous ont été envoyées par de nombreux correspondants, ce qui nous a permis de corriger ou de compléter quelques articles. Nous avons retrouvé depuis 2005 certains blasons créés avant l'indépendance en 1962. Mais nous avons aussi ajouté ceux créés après 1962 par des associations d'habitants de petits villages qui n'en possédaient pas : nous avons jugé que ces armes, étant pour eux un signe de ralliement loin de leur patrie, méritaient, surtout quand elles répondaient aux règles de l'héraldique, d'être signalées au même titre que celles adoptées officiellement par les communes à l'époque de la présence française.
Qu'il nous soit permis de renouveler nos remerciements aux amis qui nous ont apporté directement leur aide lors de la première édition, en particulier : Patrick Rousseau de Vendôme (41), dessinateur et informaticien, Françoise Sturer-Denjean de Bernis (30), artiste céramiste, qui nous a fourni son importante documentation, Jean-Yves Bovis de Nice (06) qui a été le premier à émettre l'idée de collecter les blasons des communes d'Algérie et nous a adressé lui aussi une documentation personnelle fort appréciable.
Qu'il nous soit permis de renouveler nos remerciements aux amis qui nous ont apporté directement leur aide lors de la première édition, en particulier : Patrick Rousseau de Vendôme (41), dessinateur et informaticien, Françoise Sturer-Denjean de Bernis (30), artiste céramiste, qui nous a fourni son importante documentation, Jean-Yves Bovis de Nice (06) qui a été le premier à émettre l'idée de collecter les blasons des communes d'Algérie et nous a adressé lui aussi une documentation personnelle fort appréciable.
Nous espérons cependant de tout coeur que vous prendrez plaisir à consulter cet ouvrage sur le patrimoine de la France à une époque aujourd'hui révolue. Nous sommes, bien entendu, ouverts, à toutes les observations qui nous permettront d'améliorer cet armorial à l'occasion d'une éventuelle 3e édition.
Avant toute chose, il convient d'avertir le lecteur que la science héraldique, son art et les armoiries sont dépourvus de toutes prétentions nobiliaires ou aristocratiques et ne sont pas l'apanage d'une classe sociale.
Le droit à des armes appartient à tous. Rois et paysans, seigneurs, bourgeois et artisans, hommes de loi ou de lettres, corporations et associations ont possédé, possèdent ou peuvent posséder les leurs.
Les démocraties populaires, elles-mêmes, ne les dédaignent pas, et, souvent, elles illustrent leurs documents officiels ou les émissions de timbres-poste des armes de provinces ou de villes.
Certains pays, comme la Grande-Bretagne, la Suisse, l'Espagne, l'Allemagne, l'Italie, ont porté l'héraldique à un haut degré, et leurs universités, écoles et groupements ont leurs armoiries au même titre que les particuliers. La France n'était pas en retard, mais, depuis de très longues années, elle se voit dépassée.
Il n'existe aucun snobisme à posséder ou à utiliser des marques familiales ou armes. C'est parfois un trait d'union entre branches assez éloignées, entre lignes collatérales dispersées, possédant un patronyme largement répandu. Grâce au blason, elles reconnaissent leurs liens, leur origine commune.
Depuis la dernière guerre, l'héraldique renaît dans notre pays. De nombreuses petites villes, qui n'avaient pas été dotées d'armes, ont voulu en posséder. Elles en ont fait dresser, pas toujours d'heureuse façon, et ont demandé à l'autorité de tutelle de les recevoir.
L'usage des armes personnelles et héréditaires est postérieur à la première croisade.
Vous aussi, vous pouvez posséder un blason et le transmettre à vos descendants. Ce livre a été spécialement écrit pour vous y aider.
A la fin du XIVe siècle, sous le règne de Charles VI "le Fol" (1368-1422), un héraut d'armes, qui oeuvrait pour les comtes d'Evreux de la Maison de Navarre - en l'occurrence Charles III, fils de Charles dit "le Mauvais" -, rédigea un Armorial de plus de 1500 noms de seigneurs, dont un bon tiers de Normands. Parmi les armoriaux médiévaux, parvenus jusqu'à nous, on peut donc considérer ce manuscrit comme étant le plus complet concernant les blasons normands.
L'ouvrage de Denis Joulain et de Jean-Paul Fernon est le fruit de la consultation des commentaires qu'en ont fait quelques héraldistes des XIXe et XXe siècles, mais aussi d'un nouveau déchiffrement plus précis du manuscrit. Les auteurs ont recensé les armes des familles intéressant la Normandie dans l'ordre alphabétique, ce qui est une "première" et les ont présentées dans des planches en couleur, avec écus de forme ogivale, à la façon des grands armoriaux anciens, rendant ainsi un bel hommage à l'héraldique médiévale.
Edité vers 1720, à partir de l'état de la noblesse normande en 1666 dressé par les intendants des trois généralités de Rouen, Caen et Alençon, le Nobiliaire de Chevillard présente les dessins des armes de 2543 familles, accompagnés des titres de leurs propriétaires. Cet ouvrage a été revu au XIXe siècle surtout par Saint-Allais, puis par Magny qui y ont ajouté environ 400 nouvelles familles, ont blasonné chacun des dessins de Chevillard et ont rectifié certains noms de fiefs.
Depuis, l'ouvrage n'a jamais été réédité et ne peut être consulté que dans de rares médiathèques.
De nos jours, l'accès aux manuscrits numérisés de l'état de la noblesse en 1666, en particulier, a permis de corriger à la fois les blasonnements et bon nombre de noms de lieux tant chez Chevillard que chez ceux qui ont complété son travail.
Ce premier tome présente une étude critique du blasonnement de la noblesse normande et des noms de terres, avec plus de 500 notes.
Edité vers 1720, à partir de l'état de la noblesse normande en 1666 dressé par les intendants des trois généralités de Rouen, Caen et Alençon, le Nobiliaire de Chevillard présente les dessins des armes de 2543 familles, accompagnés des titres de leurs propriétaires. Cet ouvrage a été revu au XIXe siècle surtout par Saint-Allais, puis par Magny qui y ont ajouté environ 400 nouvelles familles, ont blasonné chacun des dessins de Chevillard et ont rectifié certains noms de fiefs.
Depuis, l'ouvrage n'a jamais été réédité et ne peut être consulté que dans de rares médiathèques.
De nos jours, l'accès aux manuscrits numérisés de l'état de la noblesse en 1666, en particulier, a permis de corriger à la fois les blasonnements et bon nombre de noms de lieux tant chez Chevillard que chez ceux qui ont complété son travail.
Ce second tome est consacré à l'illustration du premier avec plus de 3000 dessins de blasons redessinés en couleurs.