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Le burn-out, mal du siècle? Ce qui est certain, c'est que bien des gens sont concernés! Alors comment en sortir? Ou, mieux, comment y échapper?
Ayant lui-même connu de sérieuses alertes de santé qui l'ont forcé à ralentir l'allure, l'auteur propose une manière de vivre qui non seulement respecte les conseils de la Bible, mais qui permet aussi de parvenir à un équilibre et de retrouver la joie au quotidien. Ses conseils très pratiques seront utiles à tous, ici et maintenant.
S'il s'adresse particulièrement aux hommes, il est aussi le coauteur d'un deuxième ouvrage sur le sujet avec son épouse, destiné... aux femmes et intitulé Pause! Eviter le burn-out dans un monde exigeant.
La morosité a aujourd'hui gagné une grande partie de la société, et même pénétré jusque dans l'Eglise. Pourtant, les chrétiens ont les moyens de ne pas succomber au pessimisme ambiant. Ils ont les moyens de vivre autrement. A travers cet ouvrage, David Murray nous invite à réfléchir aux raisons que nous avons d'être heureux même si tout ne va pas toujours pour le mieux. Un appel à témoigner de la joie de l'Evangile !
Le burn-out, mal du siècle? Ce qui est certain, c'est que bien des gens sont concernés! Alors comment en sortir? Ou, mieux, comment y échapper?
Ayant eux-mêmes connu de sérieuses alertes de santé qui les ont forcés à ralentir l'allure, Shona et David Murray proposent une manière de vivre qui non seulement respecte les conseils de la Bible, mais qui permet aussi de parvenir à un équilibre et de retrouver la joie au quotidien. Leurs conseils très pratiques seront utiles à tous, ici et maintenant.
Si cet ouvrage s'adresse particulièrement aux femmes, David en a publié un autre destiné spécifiquement... aux hommes et intitulé Reset! Vivre la grâce à l'ère du burn-out.
Partout, l'heure est à l'intensification de l'exploitation industrielle des « ressources naturelles ». Forêts, eau douce, minerais, sable, rivières, faune sauvage, gaz de schiste, pétrole, terres fertiles, paysages grandioses : tout y passe ! La justification de ces efforts est partout la même : cette exploitation est un facteur de croissance essentiel dont il serait fou de ne pas profiter alors que les emplois manquent et que les États sont endettés. C'est le choix de l'extractivisme. Si ce phénomène suscite des débats, ceux-ci ne portent généralement que sur les conditions de l'exploitation de ces richesses : qui va vraiment profiter de ces ressources ? Comment ne pas faire trop de dégâts en les mettant à profit ? Est-ce le bon moment de les exploiter ? Et si, au lieu de se préoccuper de la bonne façon de partager ce « gâteau » (sans trop salir la nappe), on s'interrogeait plutôt sur la pertinence même de le consommer ? Ne s'agit-il pas d'une fuite en avant, sur un chemin qui ne mène nulle part, sinon à la destruction pure et simple de notre habitat terrestre et de nos sociétés ? Ne pourrions-nous pas vivre aussi bien, voire mieux, sans pratiquer ce type d'exploitation ? Si oui, à quelles conditions ?
Enfin disponible en français, A Critique of the Study of Kinship est un classique qui a contribué, en particulier via une historiographie critique et une approche réflexive, à la réforme des théories, des méthodes et des résultats en matière d'études de parenté outre-Atlantique, outre-Manche et, plus récemment, en France autour du renouvellement des formes familiales et des modes de procréation.
Les dimensions construites et culturelles versus données et biologiques de la parenté y sont mises au premier plan. Les études féministes et de genre revendiquent ce livre comme fondateur.
Cette étude se présente comme une enquête sur les théories anthropologiques à partir de deux descriptions alternatives du système de parenté à Yap (Micronésie), où Schneider a mené ses recherches doctorales entre 1947 et 1948.
Dans la première, il adopte de manière caricaturale le style et la forme des descriptions conventionnelles des systèmes de parenté. Dans la seconde, il propose une description qui « ne présuppose pas la parenté » mais part des unités culturelles locales pour les décrire à partir de leurs multiples significations. Se répondant étroitement l'une l'autre, ces deux descriptions visent à débusquer les théories, souvent implicites, qui se dissimulent sous les « prétendus faits ethnographiques ».